Priama Diia
The problem of corruption does not lie with a few ‘bad’ officials, but with the system itself
Published on July 23, 2025
Parasitic MPs are preventing the people from living
Priama Diia, along with the rest of the population who are not indifferent, joined the large-scale protests in Kyiv and Lviv: the Verkhovna Rada adopted Bill No. 12414, which definitively transforms the anti-corruption bodies into a docile instrument of power. The NABU and SAPO are now subject to the prosecutor general, a person appointed and controlled by the political class.
This is not a measure of efficiency. It is about ensuring that cases against big thieves are not brought to court.
While the majority of the population survives on poverty wages, some are rewriting the laws to suit themselves in order to get rid of troublesome investigators, close cases against corrupt officials, and treat prosecutors as their personal subordinates. This is looting of the people by those in power.
We are facing blatant tyranny of power, an attempt to strengthen the authoritarian vertical in times of war. The problem of corruption does not lie with a few “bad” officials, but with the system itself. It cannot be solved by new reforms from above. Corruption can only be curbed when institutions are transparent, horizontal, and controlled by the people, not by a handful of powerful individuals.
Let's not allow those in power to trap us!
Le problème de la corruption ne réside pas dans quelques «mauvais » fonctionnaires, mais dans le système lui-même
Les députés parasites empêchent le peuple de vivre
Priama Diia, avec le reste de la population qui n’est pas indifférente, s’est jointe aux manifestations de grande ampleur à Kyiv et à Lviv : la Verkhovna Rada a adopté le projet de loi n° 12414, qui transforme définitivement les organes anticorruption en un instrument docile du pouvoir. La NABU et la SAPO sont désormais soumises au procureur général, une personne nommée et contrôlée par la classe politique.
Il ne s’agit pas d’une mesure d’efficacité. Il s’agit de veiller à ce que les affaires contre les grands voleurs ne soient pas portées devant les tribunaux.
Alors que la majorité de la population survit avec des salaires de misère, certains réécrivent les lois à leur convenance afin de se débarrasser des enquêteurs gênants, de classer les affaires des hauts responsables corrompus et de diriger les procureurs comme leurs subordonnés personnels. Il s’agit d’un pillage du peuple par les mains du pouvoir.
Nous sommes confrontés à une tyrannie évidente du pouvoir, à une tentative de renforcer la verticale autoritaire en temps de guerre. Le problème de la corruption ne réside pas dans quelques «mauvais » fonctionnaires, mais dans le système lui-même. On ne peut pas le résoudre par de nouvelles réformes venues d’en haut. La corruption ne peut être endiguée que lorsque les institutions seront transparentes, horizontales et contrôlées par le peuple, et non par une poignée de puissants.
Ne laissons pas le pouvoir nous piéger !